qolehet

tout est fumée

Page d'accueil > Les arbres au garde à vous

Les arbres au garde à vous

 

Les arbres aux gardes à vous

Défilent  le long de la voie muette.

Les roues de fer vocifèrent.

Le ciel couchant déchiré d’éclairs nuageux

Et la nuit qui tombe écrase la campagne, monotone.

Je hais ce train qui fait semblant de rattraper le temps perdu.

Et là-bas je devine Cabourg. C’est là qu’il faut chercher.

Menu

  • Page d'accueil
  • A Xavier, ce poème oublié dans mon cabinet
  • Ma ville est un grand parc
  • Rêve en un anniversaire
  • Qu'mran le retour
  • Berechit
  • La poésie du papillon
  • Joyeux Anniversaire
  • Tranches de vie éternellle
  • Moshe nous disait ce matin
  • Ma mère
  • Déclonons un peu
  • Vaumurier après la cour d'assises
  • Hiro
  • Voyage voyage
  • Quechua retrouvé
  • Le Père et Nous
  • Les tétards
  • Adam et Eve sapiens
  • La tête dans les nuages
  • Jacques-Henri
  • Nous vivons vingt millle jours
  • Saint Pierre des Corps
  • Voici l'automne
  • As Salam
  • Le sexe des anges
  • Le Chat, le Renard et l'Ours
  • Shema Marc
  • Juif
  • Six ans déjà
  • Voici la suppléante
  • Flexe et Dille
  • Rien de nouveau sous le soleil
  • Mystère d'une robe de chambre rouge
  • Les arbres au garde à vous
  • Soixante dix fois sept fois
  • Conjugaison du verbe manger
  • Poésie minimaliste
  • Maraude
  • Gaspard, Melchior et Baltazar
  • Hapax
  • Proésie sur l'ordre et le désordre
  • Haiéka - Hinneni

Rechercher


Contact

qolehet

qolehet@hotmail.fr


Accueil Plan du site RSS Imprimer
© 2013 Tous droits réservés. | Créer un site internet gratuitWebnode
 
Site réalisé avec Webnode
Lancez votre propre site gratuitement!
Commencez ici